Nous avons donc pris le ferry, passeports en poche, pour rejoindre l'île de Macao par une une journée nuageuse. Nous nous sommes directement rendus sur la place principale de la ville pour voir si on y trouvait réellement des vestiges portuguais. Au premier coup d'oeil, le test était passé.
Toutes les affiches, les noms de rues, les enseignes publicitaires sont écrits en portuguais et en chinois, voir parfois en anglais. Tout y était, des pavés aux azulejos, pareil que dans les rues de Lisbonne ou de Rio de Janeiro. Il y a bien évidemment des restes architecturaux au niveau des édifices de la vieille ville, du fort qui domine depuis la colline et surtout des églises, pourtant pas trop chargées.
Cependant, le meilleur pour Tatiana, et pour moi également, réside dans « la bouffe ». Il reste des chinois qui cuisinent le bacalhau et les pastels de natas. Si bien que nous nous sommes faits exploser la panse à midi pour notre plus grand plaisir.
Nous avons passé la fin de la journée au casino, non pas pour faire les courses, mais pour tenter de faire cracher le jackpot aux bandits-manchots. Nous ne sommes pas repartis bredouilles. Mieux que rien, mais pas de quoi nous financer le billet de retour pour Hong Kong.

1 commentaire:
Au casino t'as gagné autant qu'à Hull ?
Tout sur le 21 !
Bisous
Enregistrer un commentaire