A Hong Kong, nous avons rejoint le centre en shuttle pour arriver directement dans un hôtel réservé à l'avance par Marina (merci) et pas trop surfait pour la ville, le YWCA Ann Black.
Hong Kong est un nid de champignons de béton, de métal et de verre géants, s'élevant toujours plus haut pour mieux vouer un culte au dieu du commerce. Des bouches de métros vomissent, un peu partout dans la ville, par saccade, un flux incessant de chinois et d'occidentaux pressés de vaquer à leur occupations. Cette multitude déambule sur d'aériennes passerelles comme pour ne plus toucher terre. Au milieu de tout ça règnent les chinois. Partout dans les rues, les magasins, les restos, les bious-bious, les marchés de contre-façons, et d'électronique bon marché, grouille une vie qui ne semble jamais s'arrêter.
Le pic Victoria situé sur l'île principale offre une vue magnifique, quant il n'y a pas de brouillard, sur la fourmilière qui gigotte à ses pieds.
Nous avons eu la chance de retrouver sur place un perlysien de souche, Jérôme B., qui nous a accueilli et servi de guide lors de notre premier soir sur place. Grâce à lui, nous avons pu nous mettre directement dans le rythme de la cité en découvrant « the places to be », qui ne sont pas forcément indiquées dans les guides. Merci !
On a apprécié cette ville, pour sa folie, et son large panel d'activités. Ici, on ne s'ennuie pas, mais on a vite besoin d'en sortir pour se prendre une bonne bouffée d'oxygène.

2 commentaires:
'est bien rédigé... mais y a des phrases qui ne sont pas finies.... c'est le moment de rentrer, tu commences à parler le p'tit nègre. (c'est pas raciste comme expression, je le précise !)
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